Candidature : Aleksïa Eneboer

PARTIE HRP, PRESENTATION DE LA JOUEUSE :

Bonjour, et bonsoir à tous, et bienvenue sur la superbe candidature de la magnifique Opaxas ! Quoique, pas si jolie que ça ... Bref. Je suis Aleksia, j'ai 18 ans et je viens de l'Île de la Réunion. Je compte partir vers Lille dès que possible pour mes études à l'IFAP pour devenir Community Manager de profession. J'aime la musique (surtout le punk et le metal), l'écriture, le RP (obviously) et les chats. Je fais du RP depuis 2008 (que j'ai commencée la pratique sur divers supports) et j'ai l'habitude de faire ça depuis donc 10 années. J'ai commencée Minecraft le 8 Octobre 2012 et je viens de reprendre le jeu il-y-a très peu après avoir beaucoup RP sur divers serveurs sérieux. Si j'ai rejoins votre serveur, c'est qu'un ami de longue date (que je ne citerais pas par soucis de respect) m'a recommandé et fais l'éloge de celui-ci. Donc, après avoir vue un peu le Discord et les membres, j'ai décidée de poster ici. J'ai des attentes vers un RP sérieux et soutenu. Où la rigueur et le professionnalisme prime sur le fun et les délires HRP. Donc, je m'attend à du lourd, du gros lourd. (Un bon gros Panzer IV allemand quoi) Donc, c'est ainsi que je suis venue ici. Je cherche la motivation d'y trouver un RP et un confort de jeu propice pour pouvoir me détendre et développer un personnage intéressant dans un univers intéressant. De plus, je suis écrivaine de post-apo' aussi donc ... Tout vas bien !

DOSSIER MEDICAL ET PSYCHOLOGIQUE DE LA PATIENTE "ALEKSÏA ENEBOER" :

"Note du 5ème rapport de la journée ... Le sujet est le suivant : Aleksïa Eneboer. C'est un individu de sexe féminin d'origine Serbe. Elle as été auscultée et analysée par le docteur, psychologue et psychiatre Felix Renfield (donc moi), au sein de la zone B-52.

Bien qu'elle parle un anglais avec un fort accent, elle ne semble présenter aucun signe d'animosité envers son entourage. C'est une femme aux cheveux noirs mi-longs et à la peau blanche. Mademoiselle Eneboer possède des traits caucasiens propres aux peuples slaves et balkaniques. Comme une tête fine, un nez fin, des lèvres pulpeuses, une poitrine prononcée, un œil bleu(l'autre étant caché constamment par un cache-œil que le sujet refuse de retirer pour des raisons personnelles, le médecin Renfield garde sous secret médical les conditions de son œil droit. L'information étant cachée à sa discrétion) et possède un corps normal pour une femme de 18 ans. Elle appartient au groupe sanguin O. Elle possède des formes et une stature plutôt élancée. Ne montrant pas de laideur, ni de beauté non plus. Elle mesure 1 mètre 75, pour 58 kilos. Une femme vraiment banale en somme. Elle possède des cicatrices ici et là. Ainsi que des piercings et tatouages nombreux. Elle m'a informée aimer la douleur, qui lui procure "de réelles sensations" selon ses dires. Comme si elle ne ressentais rien sans ça ... Ce qui explique aussi les traces de mutilations nombreuses sur ses bras et jambes. Elle dis qu'elle est poussée par le désespoir et sa propre froideur. Elle as aussi du mal à être avec les gens, certains la voient comme une fille instable et psychotique, alors que ce n'est nul le cas. Ce qui peut la mener à être mal jugée par les gens et attirer peur ou méfiance. Elle aime aussi la musique extrême, comme le metal et le punk. Elle déteste les inconnus qui "viennent lui parler et la déranger", car elle n'a pas confiance à autrui tant qu'elle ne le connais pas. Ca à été même dur pour moi de l'analyser car durant la première séance, elle n'avais pas dit un mot et refusais systématiquement d'amorcer la discussion avec moi. C'est même moi qui ait dû faire un monologue avec elle. Elle ma dis néanmoins qu'elle aime les chats et les choses effrayantes et inexplicable. Comme les films d'horreurs, le paranormal, les théories du complot ou les romans d'épouvantes ... Charmant. D'ailleurs, son film favori est "Psychose" d'Alfred Hitchcock. Et son chiffre préféré est le 5. Elle semble souffrir d'un traumatisme profond (qu'elle n'as pas voulue me mentionner, mais soit) dû à ses forts troubles dépressifs majeurs et persistant, d'anxiété sociale et de haine de soi (presque suicidaire) dû à un traumatisme qu'elle as refusée de mentionner. Elle déteste le contact avec les inconnus et les autres et m'a informée que même notre discussion lui était gênante. Lui procurant un fort malaise dû à son anxiété mentionnée plus tôt. J'ai préféré donc faire court. Elle n'est pas pour autant misanthrope. Mademoiselle Eneboer m'a aussi informée qu'il serait utile que je lui prescrive des médicaments antidépresseurs sous une base quotidienne, ainsi que de plusieurs séances de psychothérapie pour améliorer ses conditions de vie et éviter qu'elle ne fasse une crise de dépression ... (Un burn-out, une crise d’angoisse en somme) ; Voir qu'elle ne se mette en danger elle-même dû à la dite crise. Elle ma aussi dis qu'à cause de ça, elle pratiquais l'automutilation et qu'elle pourrait être assez hostile à son entourage. Je lui ais donc dis qu'elle pouvais partir vu que la discussion commençait à s'éterniser et que Mademoiselle Eneboer trouvais insupportable le fait que je lui porte "trop de questions qui alimentaient sa nervosité". Alors, elle est partie sous mon autorisation, en pleurant à moitié. Il semble qu'elle n'aime pas parler de son passé, ni de pourquoi elle as un œil voilé.

Fin du 5ème rapport de la journée, dossier clôturé. Résultat :
-Une séance de psychothérapie toutes les semaines.
-Une prise quotidienne de médicaments antidépresseurs.

Si le sujet loupe les séances ou évite la prise des médicaments, ceci peut alimenter les symptômes décris plus haut. Et donc, rendre le sujet instable vis-à-vis de lui-même et de son environnement. Donc, à éviter. C'est une obligation médicale."

Ci-joint une photographie de la patiente :

RÉSUMÉ DU DOSSIER DE DOUANE DE MADEMOISELLE ALEKSIA ENEBOER, PROCÈS VERBAL JUGÉ PAR LA POLICE DU DISTRICT 5 DE LA ZONE B-52 :

"Résumé du procès verbal vis-à-vis du sujet Aleksïa Eneboer. A noter que celui-ci à été écrit et jugé par une autorité compétente et impartiale (neutre) vis-à-vis du sujet. Son dossier médical à été pris en compte pour éviter de sanctionner durement la jeune femme. Elle est désormais autorisée à la circulation dans la Zone B-52. L'officier de police William Eluard à été celui qui à été sélectionné en temps que dépositaire pour interroger Mademoiselle Eneboer. Toutes les actions faîtes et les dires du receveur du dossier de douane et de l'individu ont été notés ici. Les actions ont toutes été analysées et décryptées via les caméras de surveillance de la salle d'interrogation. Elles ont été notés de manière scrupuleuse ici pour garantir un entretiens des plus complets et fluides. Merci d'en tenir compte.

La jeune femme entre dans la salle. L'air un peu nerveuse. Elle tapote un peu ses mains en fixant le sol. Elle attend que l'officier Eluard lui propose de s’asseoir. Elle semble hésitante et elle refuse. Alors, l'officier feuillette un peu son dossier médical vis-à-vis des méthodes à effectuer avec l'individu. Le temps qu'elle se décide à s’asseoir sur la chaise fessant face au bureau du dépositaire. Après quelques longues et interminables minutes. L'individu vint s’asseoir en respirant fort alors que l'officier vint de finir la lecture du rapport médical du docteur Renfield. Notre officier étant compétant et connaissant le statut du patient, ne l'aura pas interrogée pour savoir pourquoi elle fais ça. Mais il à avoué avoir pensé qu'elle était sans doute trop nerveuse de se retrouver avec une autorité hiérarchique supérieure et pouvant la mettre en prison ... Cachait-t-elle des volontés criminelles ? Nul ne le saura ... Bref. La conversation débuta donc.

Officier William Eluard : "Bien Mademoiselle euh ... Eneboer. C'est bien ça ? Que je ne me trompe pas sur votre nom, qui est marqué ici. Sur se dossier." L'officier Eluard lui aura montré le dossier qu'elle aura chassée d'un revers de main.

Mademoiselle Eneboer ne répondit pas et se contentait d'observer ses mains en gardant une posture courbée.

Officier William Eluard : "Euh ... Bon, d'accord. Bien, on vas dire que c'est votre nom. D'accord ? Mh ... D'où venez-vous ?"

Soudain, Mademoiselle Eneboer commença à parler avec un accent Serbe. Il aura fallu que l'officier se concentre sur se qu'elle disait si il voulait comprendre son anglais approximatif qui sortait de son énorme accent.

Aleksïa Eneboer : "Je viens de loins ... Plus précisément de Serbie. On ma relocalisée ici." Dis-t-elle en n'osant pas regarder notre officier du regard, fixant à gauche et à droite, comme si elle était poursuivie. L'officier encore une fois ici, n'en aura pas tenu compte en vue du dossier médical de la patiente.

Officier William Eluard : "Très bien. Puis-je savoir à quel motif avez-vous été relocalisée ici ? Au Japon ?" Dis-t-il en retirant la cigarette à sa bouche qu'il était en train de fumer et l'écrasant avec son pouce contre le cendrier. La cigarette n'étant pas interdite dans l'établissement. Aleksïa Eneboer releva la tête et elle fixa monsieur Eluard d'un air presque psychotique, et elle souriait en disant.

Aleksïa Eneboer : "J'ai dû tuer ceux qui m'ont fais du mal. Et maintenant, ils ne veulent même plus de moi. On ma souillée, on ma violée. C'est ça que vous voulez savoir ? Tout savoir comme se que tout le monde veut ? Vous êtes comme eux hein ... A vouloir trop poser de questions. C'est ça que vous voulez ? Me faire encore plus mal ? Laissez moi sortir !" Aura dis le sujet alors qu'elle se relèvera de sa chaise d'un air frénétique, et se dressant contre monsieur Eluard. L'officier aura été pris par un soupçon de panique et aura pris son arme de service dans sa main d'un réflexe habituel face aux forcené. Il l'aura simplement menacée par le geste, et elle se seras immobilisée.

Officier William Eluard : "Par contre, mademoiselle Eneboer ... Vous allez vous calmer. Je sais que vous avez le penchant d'être timbrée, c'est sur votre dossier." Aura dis maladroitement notre officier dû à l'escalade de la discussion, la dernière phrase n'étant pas à prendre en compte dû à la panique de l'agent. "Et ces informations sont très intéressantes étant données que vous ne les avez pas dites au médecin." Aura-t-il dis en lui fessant signe de s'asseoir, chose qu'elle aura fais sous le coup de l'oppression de l'arme sortie. Il la posa simplement sur la table, à portée de main alors qu'il l'aura fixée d'un air inquisiteur. Et il lui aura dis. "Maintenant, j'aimerais que vous me stipuliez qu'est que vous allez faire ici et à quoi vous allez nous être utile ... On ne veut pas d'une dépressive inutile et psychopathe sur notre belle île du Japon qui ne nous serviras à rien." Aura-dis de manière agressive l'agent Eluard. A se point culminant de la discussion, William Eluard avait une attitude un peu plus odieuse et agressive envers Aleksïa Eneboer pour des raisons de simple peur d'elle. Surtout par le fait qu'il aura gardé jusqu'à la fin son arme sur le bureau d’examen. Aleksïa Eneboer se sera mise la tête entre les mains, passant celles-ci dans ses cheveux, un peu paniquée et oppressée par l'attitude de l'agent Eluard qui n'aura pas gardé son impartialité vis-à-vis de mademoiselle Eneboer. Elle respirait fort en tentant de se calmer, alors qu'elle repris un peu ses esprits après. Puis elle aura simplement dis :

Aleksïa Eneboer : "Je ... Je ne veux faire de mal à personne. Arrêtez d'avoir peur de moi. Je veux être utile. Mettez-moi là ou vous voulez. Je ne veux pas que l'on me rejette ou me fasse encore du mal ... Il me faut mes médicaments ... Il me faut mes médicaments !" Dis-t-elle d'un air apeuré, alors qu'elle cherchait frénétiquement dans son sac une boite d'antidépresseur. Elle sortit quelques cachets qu'elle avala d'une traite avec un verre d'eau que lui aura préparé l'officier d'examen. Après une bonne minute de silence et de calme, le sujet se contenta de fixer simplement et bêtement l'homme qui se tenait en face d'elle. Attendant sa réaction alors que celui-ci l'analysait en caressant sa barbe.

Officier William Eluard : "Très bien ... Bon. Restez-là, je vais discuter avec l'un de mes supérieurs de votre cas. Vous êtes lamentable mademoiselle." Disait-il en soupirant alors qu'il se leva de la table en y laissant son arme par accident dû à la hâte. Il sortit de la salle alors que Aleksïa Eneboer se releva dans la pièce, les caméras la surveillant. Elle fessait le cent pas en silence, plaçait ses mains contre les murs, la tête baissée en respirant fort. Murmurant des paroles pour elle-même et se recroquevillant dans un coin en frissonnant. Alors que l'absence de l'officier en charge de son dossier de douane devenait interminable, elle finit par faire une crise et commença à chercher frénétiquement une arme ou un objet pouvant lui faire du mal. Si bien qu'elle cassa un carreau de la vitre de la salle d'examen et commença à s'entailler un peu les veines pour se calmer. Le sang coulant ici et là. Si bien que pas calmée par ça, elle pris le pistolet de l'officier, se le met dans la bouche et hésitait à tirer. Heureusement, au dernier moment, elle fut interrompue par l'arrivée du docteur Renfield et Eluard qui furent surpris de la voir dans cet état. Suivi du commissaire de police qui gardait ses mains dans son dos en observant la scène.

Docteur Renfield : "Aleksïa ... Je vous en prie, lâchez cette arme. Ce n'est pas la bonne méthode à faire. Vous allez vous tuer si vous faîte ça ... Je sais que vous avez besoin de douleur. Reprenez vos médicaments et calmez vous. Vous devez me faire confiance. Nous allons débuter une séance psycho-thérapeutique après l'entretiens du dossier de douanes, d'accord ? Faîte moi confiance je vous dis et lâchez cette arme bordel !" Dis-il, en panique, les mains levées vers elle alors qu'il voulait la calmer et la rassurer. Lentement, Aleksïa l'écouta alors qu'elle reposa doucement l'arme sur la table, alors qu'elle pleurait ... Puis peu après, il sembla qu'elle commençait à ressentir les effets des antidépresseurs qui semblaient la calmer d'un coup. Le docteur Renfield la pris dans ses bras en disant : "C'est ça, c'est ça ... Doucement ma grande." En lui tapotant le dos d'un air protecteur et se voulant rassurant. Il fixa le docteur Eluard avec aversion, celui-ci baissant la tête avec une certaine culpabilité. Alors que le commissaire de police leva la voix.

Commissaire : "Bon ... Ben, on en fais quoi ? On peux pas la laisser visiblement repartir d'où elle viens. Ca créerait un incident diplomatique là ... Vous saurez vous occuper de cette gamine, docteur Renfield ? Si oui, j'autorise qu'elle reste en temps que citoyenne ici. On lui trouveras un travail et de quoi se loger je pense. On dis qu'on fais comme ça ?" Dis-t-il en redressant sa moustache d'un air simple alors qu'il avait l'air complètement désintéressé et extérieur à la scène.

Docteur Renfield : "Je m'en occuperait et j'essaierai de trouver une solution pour l'insérer en société. Faîte moi confiance, monsieur le Commissaire. Je vais la soigner de se pas d'ailleurs pour sa blessure dû à la mutilation évidente." Dis-t-il en souriant, l'air d'accepter le "défi' que venait de lui imposer le Commissaire de police.

Commissaire : "Bon, alors, le dossier est accepté." Et tous sortirent de la salle tranquillement. Aleksïa marcha en se tenant à l'épaule du docteur Renfield alors qu'elle sentait faible et avait l'air affaiblie.

Fin du procès verbal. Dossier d'Aleksïa Eneboer cloturé et accepté par les forces de police de la zone B-52."

APTITUDES S.P.E.C.I.A.L D'ALEKSÏA ENEBOER :

Force : 7
Perception : 11
Endurance : 16
Charisme : 6
Intelligence : 13
Agilité : 10
Chance : 7

Malheureusement, La Coalition n'acceptera pas de mettre un personnage aussi impulsif dans un abri de Colon. Dans la logique des choses, elle aurait été enfermée pour avoir menacer un officier et le docteur, appartenant à l'armée, n'aurait pas eu son mot à dire. Je te laisse modifier ta fiche en conséquence et t'invite à modifier ton histoire ainsi qu'ajouter métier, groupe sanguin etc...
Avis en attente