Sujet: [Candidature] Kajika Jolon Sam 27 Avr - 17:31
[Partie HRP]
Je m'appel Paul, j'ai 20 ans, originaire du sud de la France j'ai grandi avec le RolePlay. Ayant commencé sur du D&D papier suivi rapidement par du Cthulhu (toujours papier) avant de, tardivement, découvrir la possibilité RP de Minecraft.
Sur mon CV j'ai plusieurs serveurs RP MC : Eldrim, L'ODP, DefconZ (V1), DefconZ (V2) et Midgard.
Pour cerner un peu plus ma personnalité je suis le genre de personne qui attache de l'importance à certains détails, je suis engagé dans la cause animal à plein temps depuis maintenant 1 ans (Sea Shepherd). Je peux donc être appelé en mer pour effectuer des ops
(donc de possible absence de minimum 3 semaines jusqu'à maxi 3 mois) mais je suis en capacité d'orienter mon RP pour éviter les soucis de logique.
[Partie RP]
Description Physique
Kajika Jolon (2041):
De quoi accompagné la lecture:
Origine: Inuvik, Territoires du Nord-Ouest, Canada
Nom: N/c
Prénom: Kajika Jolon
Sexe: Femme
Age: 24
Groupe sanguin: N/c
Taille: 1m73
Poids: 69kg
Métier: Trapper / Guide en période estival
Antécédents(opération, blessures, etc): Fracture du poignet droit
Autre: Teint très pale
Description Psychologique
Kajika est une jeune femme très solitaire, nonobstant les traditions très communautaires de son peuple. Elle est plus ou moins stoïque dans les situations émotives du fait de la dureté des conditions de vie. Etant la seule et unique enfant de son père elle a très vite sentit que son éducation serait celle d'un garçon… La jeune femme c'est alors développé psychologiquement comme tel. Ni bonne ni mauvaise avec les autres, Kajika a une tendance marqué pour la méthode du "pas vue pas pris". De plus sa volonté de finir ce qu'elle commence lui dicte le crédo "Celui qui donne la sentence sera le bourreau"
Background du Personnage
La Vallée des Chênes Morts:
Kajika Jolon est née dans la ville de Inuvik, petite ville séparée du reste par le fleuve Mackenzie. Son père était l'actuel chef du village et après trois fausses couches de trois femmes différentes son espoir de voir un fils prendre sa place venait de s'éteindre avec l'arrivée du nourrisson. Une fille… Pâlotte et frêle… Loin du chef de meute désiré. Malgré la modernisation importante du mode de vie des Inuits Canadiens, la tradition gardé une importance fondamentale dans la vie de chacun. Le mots sur la naissance avait fait le tour avant même que celui ci ne puisse lui choisir un nom. L'enfant ayant brisé le champs des possibles de sa paternité, il n'hésita plus, "Kajika ! Ma fille ! Kajika tu porteras, mon désespoir te suivra et comme moi tu ne pourras jamais t'en séparer !" Quelques années plus tard, Kajika semblait heureuse du haut de ses 5 ans, la neige et les chiens suffisaient a combler la petite Inuite. Loin d'elle les hypocrisie du peuple, déjà les pères formaient leur fils à la chasse et à la pêche cherchant à faire d'eux les meilleurs prétendants. Mais le paternel de la demoiselle n'avait pas dit son dernier mots, Et si le fardeau Kajika devenait elle aussi une chasseuse et une pêcheuse ? Pourquoi pas même un guerrière ? C'est alors que Jolon commença en Kajika, la promenade au milieu des morts, la transformation d'une petite innocente et pleine de vie, en une machine sans émotions forgée comme une épée pour être la plus tranchante du champs de bataille. Et il ne lui faudra qu'une dizaine d'années pour faire de Kajika Jolon le fils rêvé. La meilleure chasseuse de phoques, la plus déterminée des pêcheurs et la plus solitaires des jeunes filles…
La Communauté du Cercle:
Novembre 2043 :
Cela fait plusieurs mois que Kajika a migré vers le sud. Les réserve de nourriture étant arrivé a leur fin à Inuvik et l'effondrement des grandes villes du Nord Canadien ayant entrainé l'incapacité du ravitaillement. Celle ci a pris l'initiative avec une dizaine de compagnon de partir vers le sud à la recherche d'aide… En vein… Seulement l'abandon et des créatures sortant des cauchemars les plus horrible de certains. La maladie et le manques de vivre aura emporter la moitié du groupe avant qu'ils ne tombent sur les ruines d'une ferme marqué d'un immense cercle orange. Accueillit par un rassemblement d'hommes et de femmes armées de fusils de chasse et d'arcs de fortunes, qui les conduiront dans des souterrains à même la roche où toute une communauté avait élu domicile à l'abri des danger extérieur, paisible vie, agriculture, élevage et chasse leur permettaient de survivre sans trop de complication. A leur tête un ancien maire d'une ville voisine secondé par un policier et un infirmier. Leur Eldorado avait tout pour durer encore longtemps…
La Grande Chasse:
Janvier 2044 :
Les chutes de neiges importantes et le vent violent avait isolé le groupe de l'extérieur pendant plusieurs semaines, seulement les chasseur le plus doués et quelques chiens été autorisé à sortir, bien entendu Kajika en faisait partit, accompagné par un homme plus vieux qu'elle de quelques années, Jonathan. Ils avaient noué des liens d'amitié solide au cours de leurs nombreuses chasse, presque un lien fraternel. C'est lors d'une traque de gibier qu'ils tombèrent sur plusieurs hommes armées et portant sans nul doute des tenues montrant une appartenance à des penchants extrêmes de conservation ethnique… Alors une Inuite et un Afro américain sur leur territoire ça ne passait pas… C'est alors que les chasseurs se transformèrent en proie… Une longue chasse entre les sapins, évitants les carreaux et les balles de fusils… Jusqu'au coup au mollet de Jonathan… Les ralentissant encore plus… La décision de continuer à fuir les éloignaient de plus en plus du camp, les forçant a abandonner la communauté…
Après la neige, la terre sèche:
Avril 2044 :
Marcher, seulement marché toujours plus au sud… Loin de tout, loin de sa famille, loin de tout ce qu'elle était avant. Partit de sa petite ville tout au Nord du Monde, maintenant en pleine vallée des USA… Entre desert et forêt morte, dans l'espoir de trouver rapidement une solution… Avec les deux bouches à nourrir, le chien et elle même, Kajika n'avait plus grand chose comme option… Quelques conserves dans les stations essences, un jerrican qu'elle avait rempli d'eau et son fusil… Rien d'autres à des miles autour d'elles… Un soir très chaud et sans toi sur sa tête, rien dans le ventre à part un renard tuer en chemin et une vieille canette de Pepsi, elle tomba sur une carte déchiré, ensablé à moitié dans le sol, peut être un espoir dans une région plus à l'est.. Toujours la même solution : Marcher mais avec un but, trouver quelqu'un pour la recueillir…
Le mauvais rêve :
Décembre 2044 :
Après plusieurs mois de marche sans interruption à errer vers l'est, les yeux rivé sur sa carte, avec comme seul repère le soleil et les étoiles, Kajika arriva devant des étendues sauvages… Foret et roches ne faisaient plus qu'un sur des lieux à la ronde, un spectacle époustouflant comme jamais elle n'aurait pu espérer en des temps aussi sombre. Un breve minute de répit, couper net par le néant, un trou noir… Le vide… Quand la lumière vein de nouveau frapper l'iris de la Kajika, un plafond de bois habillé d'un lustre se présenté au dessus d'elle, la sensation de faim était atroce, une unique minute lui avait suffit à abandonner. La respiration du chien en contre bas du lit lui assurée une pensée optimiste… L'odeur familière d'un saumon chaud venait de lui caresser le nez à l'instant où une femme se présenta face à elle… S'en suivit plusieurs jours de convalescence pour la demoiselle, son être était meurtri par la famine et la malnutrition. La générosité des rescapés et leur organisation méticuleuse lui avaient sauvé la vie. Une poignée de garde forestiers et d'employés du resort avait tenu l'hotel en place forte durant les longs mois d'apocalypse, vivant grâce à la renaissance de la nature durant l'année précédente.
Comme un goût de sang:
Mars 2045 :
Leur fuite fut longue depuis Yellowstone, ils n'étaient plus que 4 dont le chien, heureusement pour eux le pick up du Parc national en a sous le capot… Un incendie dévastateur et maintenant une horde… La mal chance aura suivit la demoiselle loin dans son périple… Après avoir pillé les dernières boites de conserves du Walmart voisin il fallait trouver un lieu où passer quelques jours, voir quelques semaines. L'un des gardes parlait d'un Musée d'histoire naturelle, une grande structure de verre, l'accès à l'autoroute y été simple et les probabilités d'y croiser des "Errants" plutôt faible. Un dédale de galerie où se croise dinosaures et marmottes, Amérindiens et Colons britanniques, les traces du début de notre ère alors même que dehors s'écrit la fin. Bien évidemment l'accueil fut digne des meilleur western, des survivants de la base militaire et quelques fidèle de l'Eglise luthérienne du bout de la rue, à l'allure cadavérique, tenant pour la plupart leur arme collé au cœur, comme si celle ci suffisait à rendre leur survie plus simple… A peine Kajika avait elle franchit le pavillon sur la guerre d'indépendance que l'un des soldats lui sauta au cou pour la mettre au sol, tandis qu'un autre égorgé sauvagement le chien comme un vulgaire porc qu'on voulait embrocher. Les larmes lui paralysèrent le visage, ses yeux noisettes ne semblaient plus qu'être un cocktail de rage et de tristesse. Ses derniers amis avait traversé tout ça pour finir crever au nom des promesses d'un faux dieu… Au bout de plusieurs minutes sous la pression du survivant elle abandonna de nouveau son corps à l'acharnement d'une bête… Aux déshonneurs et aux dégouts de la perversion…
Le Coeur à vif :
Septembre 2046 :
Le temps semblait si long, les monstres avaient trainé les derniers en vie dans un bus rafistolé, la migration des moutons était propice en cette douce fin d'été. Kajika survivait tant bien que mal, entre les abus et les coups, elle avait le droit à un "repas" par jour, de quoi la maintenir en vie pour leurs bon plaisir… Leurs but était de quitter Rapid city au plus vite, rejoindre une ville plus petite semblait le plan idéal. L'un d'eux parlait d'un bunker municipal vide, avec de quoi tenir 10 mois sans avoir à sortir et ce, pour au moins 10 personnes, un palace pour un petit groupe de 6. Le trajet fut simple, quelques "errants" par ci par là, mais rien de bien méchant… Une fois le bâtiment vidé de toute non-vie, ils ont pu s'installer à l'intérieur du bunker, l'utopie des reserves en était bien une… Il n'y avait presque plus rien… de quoi tenir quelques jours. La colère des monstres se calma par l'égorgement de l'un de leur prisonnier, sous les yeux de Kajika, son sang avait giclé sur son visage, les cris des autres survivants hantaient l'esprit de la demoiselle pendant un temps avant d'etre estomper par la cruauté des soldats. Le regard de Kajika laissait paraitre une question: que feront-ils d'elle une fois qu'ils seront lassé ?...
La Dernière frontière :
Juillet 2048 :
Sur la route de St.Louis le regard de Kajika croisa un bus en ruine rempli de cadavre, la vue meme du véhicule lui rappela le calvaire d'il y a deux ans à Rapid city. Des nuits courtes, des séquelles dans l'esprit et sur le corps… Son fusil collé sur la poitrine, le pas appuyé et son lourd sac sur l'épaule, elle contempla la longue avenue devant elle avant de décrocher un sourire en coin. Après avoir parcouru deux patés de maison elle tomba nez à nez avec un homme, une silhouette courbée sur elle même, une longue barbe grise habillait son visage vieillit et ses yeux semblaient injecté de sang. Le vieillard s'approcha de Kajika, il la dévisagea pendant de longues minutes avant de lui prendre le poignet et de la mener vers une boutique de jouet barricadé avec des planches de bois. Toujours dans un silence de mort, il lui indique de s'asseoir avant de lui apporter un bol de soupe et un morceau de pain. Une fois le bol vide et la dernière bouchée de pain prise, il apporta un plan à Kajika, un cercle rouge mettait en valeur les frontières d'une ville éloigné d'ici, elle se situe dans une région propice à l'agriculture et où il est possible de se trouver une petite ferme peuplée, des survivants possiblement plus accueillant, ou alors même une communauté en amont des grandes villes des états voisins… Il fit un geste de main en direction d'un grand sac à dos et d'une caisse de vivre puis sortit une paire de clefs de voiture de sa poche, on reconnaissait distinctement le logo Chevrolet. Une fois les affaires bouclées il lui présenta un pick up sale mais robuste, la jauge d'essence pleine et s'installa côté passager, tapotant d'un geste saccadé la place conducteur, invitant Kajika à prendre le volant.
Sujet: Re: [Candidature] Kajika Jolon Mar 30 Avr - 1:00
Bonsoir! Après concertation nous aimerions que tu nous en dise plus sur la période 2044-2049, date à laquelle prend place le RP dans l'histoire. Au delà de ça, la mise en page est propre et soignée, et le texte l'est tout autant. Juste plus de détails sur ces 5 années non écrites, et tu aura mon avis positif! o/