[Candidature] Baan Aerwynn

Bonjour ! Je me présente, Malatrose (Ça sera plus simple que le nom et prénom...) j'ai 18 ans, j'ai fait un Bac L et je suis maintenant en Lycée Pro Hôtellerie. Je fais du RP depuis un bon moment maintenant et je suis passé par beeeaaauuucoup de supports : World of Warcraft, The Elder Scroll Online, des serveurs minecrafts, du JDR papier, des jeux pas navigateurs, des forums RP, et dans je pense, tous les grands "Univers" (Futuriste, Médiévale, Dark, Fantasy, Réaliste, universitaire, ETC) J'ai juste jamais fais des trucs type Furry ou Animalier '-' S'paaaaaas... Voilà ! Pour ce qui est de DefCon Z, je vais surtout essayer, moi ce que j'aime dans le RP, c'est le côté Psychologique des personnages, le relationnel, ce genre de choses (J'aime aussi casser la gueule des gens, mais ça... C'est censé être un secret !) Du coup moi, ce que j'attends c'est... Des rencontres, du Social et je pense que le Plot Post-Apo est un super support pour ce genre de choses !





Origine : Anglophone
Nom : Aerwynn
Prénom :Baan
Sexe :Masculin
Age :28 ans
Groupe sanguin : O+
Taille :184cm
Poids :76kg
Métier :Voleur/Informateur
Antécédents(opération, blessures, etc) :Coupure au sourcil droit/Cicatrice de balle à certains endroits du corps
Autre :Surnoms : "L'Enfoiré" / "Le Traitre" / "Juda"


"Baan est ce qu'on appel un enfoiré, donnez lui la main, il vous prendra le bras sans même que vous vous en rendiez compte, beaucoup de gens ont pensés qu'il pouvait avoir un bon fond, beaucoup sont morts pour qu'il survive, d'autres sont en prisons. Capable de trahir ses amis d'enfances, Baan est un opportuniste, orateur au ton mielleux, il n'a aucun scrupule à arnaquer les plus faibles et à brosser les plus forts dans le sens du poil, il connait ses droits et surtout son importance, il possède un égo que peu de gens ont et une confiance en lui parfois abusive. Tout ce qui l'importe, c'est son confort et sa vie, bien que cette dernière ai peu d'importance pour lui."



Vous savez, je ne pense pas qu'il y ai de bonnes ou de mauvaises situations, je pense qu'on est maitre de ses choix, j'ai fait les miens vous savez. Ils étaient pas tous bon pour les autres, mais pour moi, c'était les meilleurs, ou les moins pires. Mais vous devez pas comprendre pourquoi je parle de ça, j'vais commencer par le début !
Je suis né dans une famille anglophone, à Manchester, on était pas riche, on était pas pauvre, on était des gens lambdas, j'étais un gamin assez intelligent, un bon orateur, bon en sport, j'étais débrouillard, j'étais... Un gamin comme un autre, en fait ! Aaaaaah, la bonne vieille époque, quand j'étais encore quelqu'un de bon et de gentil ! Comme ça ne me manque paaaaas.
Tout allait bien, j'étais parti faire mes études à Paris, j'avais des notes correctes, j'étais un jeune qui aimait bien s'amuser, mais je n'étais jamais dans l'abus. Puiiiiiis, vous connaissez l'histoire, c'est la merde, la fin du monde et de l'humanité, l'Afrique, la Russie, les USA, tout se casse la gueule, c'est VRAIMENT la merde. La capitale se radicalise, l'armée prend le pouvoir, ça m'emmerde et c'est LA que commence vraiment l'histoire.

J'ai commencé par des petits vols par-ci par-là, j'ai arnaqué des types ivres, j'étais un petit criminel, j'étais pas très dangereux à cette époque. Ca a duré une bonne année, jusqu'à ce que j'en veuille plus... Les vols à la tire, c'était rigolo, mais ça rapportait rien, j'avais même pas de quoi me payer à bouffer tous les jours... J'en avais marre, alors j'ai décidé de monter ma propre affaire.

J'ai commencé à recruter, j'avais la chance d'être bon à l'oral et surtout, bon en affaire, j'ai commencé avec une petite équipe de trois petits filous. On volait directement les caisses de petits magasins, puis on investissait, deux faisait semblant d'acheter quelque chose, distrayaient le caissier, le troisième volait les objets de valeurs, l'argent de la caisse, de la bouffe. Malheureusement, nos petites affaires n'ont durées qu'un temps, les forces de l'ordre ont fini par chopper mes deux collègues, heureusement, j'ai été plus malin et j'ai réussi à m'en sortir sans me faire voir ou prendre, à l'époque déjà, j'étais un véritable individualiste.

Après cet échec, je ne me suis pas démoralisé pour autant, j'ai cherché une plus grosse équipe, on était six, moi, la tête, trois casse cou, un type qui nous dénichait les coins à voler et la dernière qui s'occupait de nous faire entrer en toute discrétion. Nous visions des cibles de plus en plus grosses, on a commencé par de petits apparts, puis on a commencé à dépouiller les maisons des plus riches, on avait investi dans du matos plus pro pour notre magicienne. On avait un QG rien qu'à nous, à notre image, libre. On était tous libre... Émilie, notre Ange Gardien était devenu mon premier amour, nous passions nos journées et nos nuits ensemble, de vraies âmes soeur, on noyait nos doutes dans les yeux de l'autre, partagions nos sentiments, on avait la meme vision des choses... Jusqu'au jour fatidique.

On était recherchés par toutes les autoritées de la ville de Paris, on avait des détectives privés au cul, et bien sûr, vu que je m'occupais de tous les achats, de la logistic et de ce genre de conneries, j'ai très vite été repéré, mais par pour la finalités que vous pensez....

"Baan Aerwynn, vous êtes en état d'arrestation pour cambriolage, arnaque, vol à la tir, mensonge en direction d'un représentant de l'ordre, veuillez vous rendre sans histoires et tout ce passera pour le mieux."
Ce fut les mots de la femme qui s'occupait de mon dossier, je m'en souviendrai toute ma vie. Je suis sortie du QG, les mains sur la tête, mes seuls mots ont été :
"Au pire, je meurs."
Après ça, c'était le noir total, jusqu'à me retrouver dans une salle d'intérrogatoire, la femme en face de moi, un café en main, les jambes croisées, me regardant comme si j'étais un être méprisable à souhait, ce qui est le plus drôle, c'est que je suis en soit, un être méprisable à souhait ! Je n'ai pus m'empêcher de lui sourire, un peu amusé par la situation.
"Du coup, là je suis en enfer, et vous êtes Satan ? On dit que Dieu est une femme, pas que Lucifer l'est. Hahahahaha"

La femme plissa les yeux, serrant ses doigts sur sa tasse, j'avais un don pour énerver les gens, surtout ceux qui n'arrivaient pas à comprendre ma façon de penser.

"Pourquoi je ne suis pas encore mort ? Ou en prison ? Vous avez les preuves non ? Je suis à la tête de la bande qui est à l'origine des séries de vole. C'est ce que vous et vos supérieurs voulez entendre, non ?"

Elle était en colère, je voyais la rage dans ses yeux, elle voulait que je la supplie, que je vendes mes collègues, mais je donnais rien sans rien. Elle voulait ma bande ? Il fallait y mettre le prix.

"C'est ce que je voulais entendre, mes supérieures eux... Ils veulent que vous dénonciez tous vos amis et les autres organisations."

Ils avaient bien plus sur moi que je ne le pensais... En effet, j'avais des contacts avec bien des groupes criminels, on leur apportait ce qu'ils avaient besoin, en échange d'argent, de services, ou d'autres objets.

"Ok, aucun problème, j'ai quoi en échange ?
Vous aurez une réd-
T-t-t-t, nan nan nan, c'est de la merde ça. Je vous balance tout le beau monde, j'm'en cogne de ça, je peux même déjà vous dire un nom ou deux juste pour le fun. Nan, je vous balance les infos, en échange, je veux un post, dans votre service, en liaison directe avec vous.

J'avais réussi à la mettre hors d'elle, encore un peu et la belle blonde cassait sa tasse, moi, j'étais mort de rire à l'intérieur, je savais qu'ils n'avaient aucune chance sans mes informations, ils auraient pus me torturé, mais... C'est pas le genre de trucs qui me fait parler, et leurs informateurs ont dû les mettre au courant. La femme se leva d'un coup, me regardant avec mépris et colère et sur un ton sec, dit

"Vous allez sûrement finir en prison, ou exécuté. Tant pis pour vous."

Je la regardais s'éloigner, un pied devant l'autre, ses talons claquant contre le sol, je gardais mon sourire assuré. J'étais resté bien des jours dans cette salle à me faire chier, en plus, j'étais attaché à la table, donc c'était pas agréable... Ils ne m'ont même pas donné à manger ou à boire. Technique basique des intérrogatoire, ils voulaient voir mes limites, pas de chance pour eux, la mort, ça ne me dérangeait pas du tout, aussi douloureuse soit-elle. Les passages de la détective devenait de plus en plus fréquent, toujours les mêmes questions, parfois elle venait avec de l'eau, à manger, elle me les proposait contre les informations, bien sûr, je m'en foutais pas mal moi, de tout ça, quand elle quittait la pièce, j'aimais lui dire la même phrase à chaque fois.

"Vous savez, au pire, je meurs."

Un jour, un homme accompagnait l'inspectrice, il avait pris sa place à la table, il a commencé à parler.


"Monsieur Aerwynn, je suis là pour écouter vo-

- Ferme là mon gros, la seule personne avec qui j'accepte de négocier, c'est la femme derrière vous."

L'homme se tournait alors vers l'inspectrice, cette dernière avait son regard braqué sur mon, si elle avait une arme, elle m'aurait vidé le chargeur dessus. L'homme soupira, quittant la pièce avec la femme. Cette dernière était de retour après une dizaine de minutes, elle se mit en face de moi.

"Qu'est-ce que vous voulez ?

Ne soyez pas si sèche, inspectrice... On est amis maintenant non ? Depuis le temps qu'on se connait ? Vous savez que vous êtes la seule personne avec qui j'accepte de parler ? Vous devriez être flattée ! Je m'approchais doucement d'elle, me penchant sur la table. Grace à moi, vous aurez peut-être une promotion !

Je rigolais en me remettant comme il faut sur ma chaise, les traits du visage tirés par la fatigue, le manque de nourriture et d'eau, je continuais de regarder la femme en lui souriant.

"Quelles sont vos revendications, Monsieur Aerwynn ?

Vous les connaissez, je veux travailler pour les forces de l'ordre, dans votre éscouade, en contact directe avec vous, je veux être un travailleur honnête ! Voilà tout.
Nous allons voir ce qu'on peut faire."

La femme se leva pour sortir de la pièce, et alors que j'allais lui dire la phrase habituelle, elle se tourna dans ma direction avant de dire

"Au pire... Vous allez mourir."

J'étais sur le cul, je dois l'avouer, je ne pensais qu'elle me dirait cela un jour. Après plusieurs heures d'attentes, des gardes sont entrées dans ma salle, un type en exo' m'a enlevé mes menottes, j'étais sûr d'être emmené en prison ou sur l'échafaud, mais au lieux de ça... Ma carrière aux renseignements a commencé ! J'y ai travaillé durant plusieurs années, j'ai trahi mon ancien groupe, j'ai dénoncé mon premier amour alors qu'elle me regardait dans les yeux, j'ai fait démantelé des petits groupes de la pègre. J'étais payé suffisamment pour avoir un petit appartement à moi, manger à ma faim et pouvoir sortir de temps en temps !
Tout ça a duré 3 ans, j'ai fini par me mettre en couple avec celle qui m'a interrogé avant mon entrée aux renseignements, la Détective Amélia. On allait fonder une famille mais... Moi, je m'emmerdais à mourir, plus rien n'était drôle... J'étais entré dans une routine morbide, j'avais juste envie de crever... Pourtant, j'avais une femme parfaite, qui m'aimait, j'avais une vie cool, des collègues sympa, pas de remords, un job intéressant mais... J'ai fini par craquer.
La nuit de mon départ, j'ai simplement assassiné Amélia dans son sommeil, laissant pour seul indice la bague que je lui avais offerte et je suis partie, sans rien, trouver un passeur clandestin qui m'a fait partir en direction des USA, dans les terres désolées, là où je pourrais vivre une nouvelle vie, où je vais enfin pouvoir retrouver les frissons de la mort.

La mort... Ma seule et unique Maitresse.

Je vais pas passer par 4 chemins. Ta candidature c'est de la merde.
Une horreur visuelle et scénaristique.
Un personnage tous sauf original et une histoire à l'eau de rose.
Félicitations ! Voilà ton première avis positif ! o/

En vrai:

ça, c'est carré. Candidature validée, je déplace