Aerone Drest [Secondaire Malatrose]

Partie HRP

Bonjour ! Je me présente, Malatrose (Ça sera plus simple que le nom et prénom...) j'ai 18 ans, j'ai fait un Bac L et je suis maintenant en Lycée Pro Hôtellerie. Je fais du RP depuis un bon moment maintenant et je suis passé par beeeaaauuucoup de supports : World of Warcraft, The Elder Scroll Online, des serveurs minecrafts, du JDR papier, des jeux pas navigateurs, des forums RP, et dans je pense, tous les grands "Univers" (Futuriste, Médiévale, Dark, Fantasy, Réaliste, universitaire, ETC) J'ai juste jamais fais des trucs type Furry ou Animalier '-' S'paaaaaas... Voilà ! Pour ce qui est de DefCon Z, je vais surtout essayer, moi ce que j'aime dans le RP, c'est le côté Psychologique des personnages, le relationnel, ce genre de choses (J'aime aussi casser la gueule des gens, mais ça... C'est censé être un secret !) Du coup moi, ce que j'attends c'est... Des rencontres, du Social et je pense que le Plot Post-Apo est un super support pour ce genre de choses !







Jeune homme d'une vingtaine d'année, Aerone ne les fait pas du tout, imberbe avec des traits très fins, lui donne l'air d'un enfant assez jeune. Ses yeux sont toujours à moitié fermés, un air neutre sur le visage, lui donnant un air blasé, ça voix l'est tout autant, un ton neutre et monotone, il parle déjà très peu, mais quand il le fait, l'ambiance devient très vite... Gênante, comme si il donnait l'impression qu'on l'avait dérangé, même lorsqu'il ne fait rien. L'homme n'est pas très grand du haut de ses 176cm, cela renforce son côté enfantin. Son corps n'est pas musclé, assez maigre, lui donnant un air assez frêle, il n'est visiblement pas fait pour le combat à première vu. Ses cheveux sont souvent en bataille ou mal coiffé, comme s'il ne portait que très peu d'importance à son apparence physique, bien que l'hygiène semble être une chose primordiale pour lui, voir même une obsession...

    Origine:Suisse (Francophone)
    Nom: Drest
    Prénom: Aerone
    Sexe:Masculin
    Age: 20 ans
    Groupe sanguin: O-
    Taille: 176cm
    Poids: 58kg
    Métier: Chimiste / Scientifique
    Antécédents: Aerone est quelqu'un atteint de "Précocité Intellectuelle", le rendant assez intelligent mais aussi très mauvais dans tout ce qui touche au social.
    Autre: Langues connues: Anglais, Français, Russe, Allemand
Langues approximativement connues : Espagnol, Japonais






Le jeune homme ayant subit un traumatisme lié à la réaction de ses parents vis-à-vis de sa condition et à son recul sur la réalité on fait de lui une personne introvertie à l'extrême. Ayant toute sa vie isolé dans sa bulle personnelle, l'homme est très mauvais avec les relations socials, préférant être enfermés dans sa chambre ou dans un laboratoire, Aerone évite au possible de faire équipe avec des gens. Le jeune Chimiste voit les choses comme elles sont, très pragmatique et rationnel, il ne comprend pas certaines choses comme le deuil, la satisfaction ou certaines envies, comme celle de la gloire ou encore la passion charnel. Il ne le rejette pas mais ne les recherche pas, acceptant les situations qui s'offrent à lui comme elles viennent, se protégeant à l'aide de son indifférence à toute épreuve.



  On dit que l'homme à peur de l'inconnu, mais pour qui l'affronte, il n'est déjà plus l'inconnu. Mais je me suis toujours demandé... Et si ce qui effrayer l'homme, n'était pas cet inconnu, mais la façon dont il devra l'appréhender. Et si, il avait peur de ne pas réussir à appréhender cet inconnu ? C'est la question que je me suis toujours posé, du plus loin que je me souvienne.

Je suis Aerone, de la famille "Drest", je viens de Suisse, j'ai vécu à Paris après la "Fin du Monde". Le fait d'appeler ça une "Fin du monde" était d'ailleure débile car notre planète était encore intacte, voir même, se portait mieux qu'avant cette catastrophe. Mais bref, je m'égare. Je suis né dans un petit village près de Genève dans une famille sans prétentions.

Depuis le plus jeune âge, je n'ai jamais aimé le contacte humain, je n'ai jamais aimé me faire des amis, j'étais très seul dès la primaire. Les gens essayaient de me parler, mais soit je ne répondais pas, soit je disais que je ne voulais pas leur parler. Mon apprentissage de la lecture et de l'écriture c'est déroulé bien avant celle des autres. Dès la moyenne section, j'arrivais à lire sans réel problème, bien que mon écriture était difficile à lire.

C'est à ce moment que mes professeurs ont proposé à mes parents de passer des tests, bien sûr, eux, ils étaient contents, d'avoir un fils qui pouvait être meilleur que les autres, mais et moi ? Ils ne m'ont jamais demandé mon avis, ils ne m'ont jamais demandé si je voulais passer ces tests. Les mois passèrent, j'avais fini mon année et les tests ont commencé. Au début c'était des choses idiotes, du type, reconnaitre les couleurs, ou des animaux, ensuite, ils m'ont fait faire des dictées, de plus en plus dur, jusqu'à ce qu'elles soient remplit de mots qu'un enfant de mon âge ne pouvait connaitre. Après ça, vinrent les tests de lectures, en premier lieu, ils m'ont demandé de lire des textes simples, puis, des livres en entier, et de dire ce que j'avais compris, enfin, ils m'ont fait des tests de lecture plus complexes.

A la fin des vacances d'étés, les résultats tombèrent, j'étais "Précoce", mon cerveau semblait marcher plus rapidement que les autres, ma sensibilité était différente, l'humanité m'avait mis dans une case, dès mes 5 ans, celle des surdoués, mes parents étaient aux anges, leur petit garçon était meilleur que la moyenne mais... Et moi ? Je ne voulais pas ça, je voulais juste être comme les autres. Moi aussi je voulais aller jouer dehors à la balle avec des gens, pourquoi je ne pouvais pas ? Pourquoi me semblaient-ils si... Inintéressants ? Pourquoi n'avaient-ils aucune valeur pour moi ?

Tandis que l'école avait reprit pour les autres, moi, j'ai dû attendre la visite d'une femme en costume noir, une semaine après la reprise officielle, elle avait parlé avec mes parents de longues heures, jusqu'à ce que j'entende ma mère frapper à ma porte, elle me prit dans ses bras, elle pleurait, de bonheur. Elle m'avait dit que j'allais être placé dans un lieu spécialisé pour les gens comme moi. Qu'est-ce que j'étais ? Malade ? Pourquoi je ne pouvais pas aller à l'école comme tout le monde ? Pourquoi je ne pouvais pas simplement être normal ? Pour mes parents m'abandonnaient ? S'ils m'aimaient tellement, pourquoi est-ce qu'ils acceptaient que je parte loin d'eux ? Pourquoi devrais-je suivre cette femme au visage de démon sans dire un mot ?

"Rend notre famille fier mon fils"

Pourquoi est-ce que je devrais faire une chose pareille ? Pourquoi les gens sont si intéressés par la gloire et la renommé ? Nous n'étions pas bien dans notre vie ? Qu'est-ce qui avait de si frustrant à être comme tous les autres ? Pourquoi est-ce que c'est tombé sur moi, pourquoi dois-je vivre avec une telle malédiction ?

Ma mère avait préparé mes affaires sous mes yeux, j'en étais arrivé à un stade où je me demandais si elle était heureuse que je parte ? Étais-je une malédiction même pour mes parents ? Je devais l'être, pour les voir être si heureux de me voir partir...

La femme m'emmena dans une grande école non loin de Paris, faites exclusivement pour les "Gens comme moi", comme si... J'étais un être à part, qu'est-ce qui faisait de moi un être si "Exceptionnel" ? Le fait d'être plus intelligent que les autres ? Je ne voyais pas en quoi, tout le monde est bon dans une chose et peut être un "Génie" dans son domaine... Je détestais ma situation...

Les années passèrent, j'étais entouré de gens hautains, qui se pensaient supérieur aux autres, car ils étaient ici. Je vivais en internat, et je restais seul, tout le temps, je sortais de ma chambre uniquement pour manger et aller en cours. Voilà le résumé de mes années d'études. Je n'avais pas de petite amie ou même d'amis tout court, je n'en ressentais de un, pas le besoin, et de deux, je n'avais pas envie de me lier avec des personnes pareilles, tous plus mauvais les uns que les autres, cherchant à se démarquer à leur manière, j'avais l'impression.. D'être en prison. A vrai dire, je l'étais, je ne pouvais pas faire ce que je voulais quand je le voulais, je suivais des cours très stricts, bien que cette partie ne me dérangeait pas.

Après quelques années passées dans cet endroit, la seule "chance" que nous avions, c'est d'en sortir plus tôt que les autres. Je me suis très vite dirigé vers une école spécialisée dans la Chimie, car j'ai jugé que c'était la chose la moins pire, à côté j'ai apprit l'ingénierie, pour passer le temps.

J'ai coupé le contact avec mes parents dès ma sortie de l'établissement dans lequel ils m'avaient placé. Je ne voyais pas pourquoi je devrais continuer une relation avec eux alors qu'ils m'ont abandonné pour le profit, la gloire et la renommé de dire que leur enfant était différent.

Très vite, après la fin de mes études, j'ai trouvé un travail dans un laboratoire lié à la recherche sur tout ce qui touchait à la Chimie, je m'y plaisais, on me laissait un peu tranquil, et moi, en échange, je faisais ce qu'on me demandait, ce n'était pas plus compliqué que ça.

Puis, la catastrophe mondiale est arrivé, les murs ont été érigés, mon laboratoire était en charge de trouver quelque chose pour essayer de contrer la menace infecté, bien évidemment, en vain. Rien ne semblait réellement capable de détruire ces choses à grande échelle sans risque pour l'humanité.

Après quelques années passées dans cet endroit, la seule "chance" que nous avions, c'est d'en sortir plus tôt que les autres. Je me suis très vite dirigé vers une école spécialisée dans la Chimie, car j'ai jugé que c'était la chose la moins pire, à côté j'ai apprit l'ingénierie, pour passer le temps.

J'ai coupé le contact avec mes parents dès ma sortie de l'établissement dans lequel ils m'avaient placé. Je ne voyais pas pourquoi je devrais continuer une relation avec eux alors qu'ils m'ont abandonné pour le profit, la gloire et la renommé de dire que leur enfant était différent.

Très vite, après la fin de mes études, j'ai trouvé un travail dans un laboratoire lié à la recherche sur tout ce qui touchait à la Chimie, je m'y plaisais, on me laissait un peu tranquil, et moi, en échange, je faisais ce qu'on me demandait, ce n'était pas plus compliqué que ça.

Après la reprise la Corée, nous avons été dépêchés aux USA pour faire des recherches sur les Mutants qui étaient apparus lors de la reprise. Nos employeurs pensaient qu'on trouverait peut-être des réponses là-bas, mais nous avons juste trouvé la Mort, notre escouade d'escorte c'est fait décimé par un groupe de mutant et mon équipe de recherche à finit par succomber au stress et est morte de façon... Idiotes.

J'ai erré dans les terres désolées pendant un moment, mon physique et la Malédiction du Savoir m'ont permis de survivre sans réels problèmes jusqu'ici, jusqu'à trouver cette ville de survivants, Dieu sait que je n'avais pas envie de les rejoindre mais... J'imagine que je ne suis bien qu'un humain, après tout, l'envie de sécurité reste plus forte que les caprices.

Puis, la catastrophe mondiale est arrivé, les murs ont été érigés, mon laboratoire était en charge de trouver quelque chose pour essayer de contrer la menace infecté, bien évidemment, en vain. Rien ne semblait réellement capable de détruire ces choses à grande échelle sans risque pour l'humanité.

Validée pour ma part !