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Ghostrica
Messages : 74 Date d'inscription : 28/06/2017 Age : 25 Localisation : trompe sa copine
Feuille du Survivant Nom & Prénom: Alexandre Scipion Âge: 33 ans Camp/Faction: Royaume de Pendragon
Sujet: Styx [Camp PNJ] Mer 22 Jan - 21:28
Styx
Référant: Deoxy
coordonnées: 2676/69/2229
Nom de la faction dominante : L’Unité Nom de la race dominante : Vonor ( humain modifié )
Étendard du Styx:
Histoire:
Autrefois un groupe de survivant isolé sur l’île. Styx était autrefois une ville de la carrure de Riverside, avant que Eve viennent y implanter la souche d’un nouveau virus ainsi que le crash d’un satellite militaire, libérant sur la ville un gaz hautement toxique, ne faisant qu’aggraver la génétique de la population.
La ville investit alors beaucoup dans l’armement pour satisfaire son besoin en femme pour la reproduction de sa population. De nos jours la ville se meurt et se prénomme Styx, la frontière entre le royaume des vivants et le royaume des morts. Les apparitions du "Roi" Deoxy sont assez rare si ce n’est inexistante, ne se dévoilant qu’à ses conseillers ou ses proches. Les rumeurs disent que c’est une personne très lunatique et sévère, détestant être déçu.
Politique:
Une idéologie de haine envers les humains "saints" qui poussent les troupes de l’Unité à conquérir puis occuper les villes et les points clés pour étendre leur empire et la volonté du "Roi". C’est une société assez totalitaire où les Vonoriens sont supérieurs aux humains qui eux ne possèdent presque pas de droit. Il en va de même pour les femmes Vonoriennes ne cessant de réclamer un peu plus de droit social, leur plus grand combat étant l'autorisation à porter les armes de l'Unité. C’est alors une politique belliqueuse, d’occupation et d’industrie militaire qu’adopte le "Roi" pour guider ses sujets vers le haut.
Sécurité:
La défense de la ville est organisée par une partie de l’armée de l’Unité dont la tâche principale est d’être de garnison dans les villes et les avants-postes étant sous l’étendard unifié. Il n’est donc pas commun en ville de voir un ballet incessant de soldats patrouiller dans les rues et sur les murailles. La répression y est lourde annihilant toute chance de rébellion ou de résistance au régime de l’Unité. La garde est toujours sur le qui vive, particularité héritée de la paranoïa du dirigeant de la ville.